La victoire de Trump
Certains se réjouissent de la victoire de Trump parce qu’elle consacre la défaite de Clinton qui aurait pu être comptabilisée pour le camp adverse. Ils se félicitent de cette victoire non pas parce qu’elle peut bénéficier à la Tunisie, au monde Arabe, aux petits pêcheurs de Kerkennah, aux cafetiers du Lac 2 ou aux berbères de l’Ile de Jerba…mais parce qu’ils la considèrent comme une gifle aux islamistes.
Les islamistes, les Arabes (sans pétrole) et les hérons cendrés ne comptent que pour des prunes pour l’électeur américain.
Je pense que la victoire de Trump, en dehors des motivations internes qui comptent pour 98%, est l’œuvre de Poutine, de la Chine, de l’Iran…C’est que la suprématie de states est bien contestée.
Quand à la réaction de la bourse de Tunis suite aux résultats de ces élections, c’est un pur délire comique….
Quelques leçons tirées des élections US :
- L’élite et les intellectuels peuvent être motifs de rejet,
- La diabolisation, surtout mensongère, peut se retourner contre son utilisateur,
- Le pouvoir est entre les mains des terriens…et non dans les banlieues huppées
- Les sondages peuvent être trompeurs et source de manipulation.
La victoire de Trump aux élections américaines me donne l’impression que notre prochain président peut être un expert omniprésent à la télé !!!
Il a déjà la coupe de cheveux appropriée…
La commission des Finances de l’ARP
Ça y est, la commission des Finances de l’ARP commence à carburer…Elle a commencé à examiner la LDF 2017 et a même pris sa première décision :
Article 30 rejeté : Les piscines ne vont pas être taxées de 1.000 dinars.
On lui substituera une taxe de 50 dinars sur les Majels. (Ma proposition)
Le gouverneur de Tunis
Le gouverneur de Tunis continue sa guerre contre tous ceux qui violent la loi pour des intérêts purement égoïstes et mercantiles.
La campagne du Lac 2 menée tôt ce matin est à saluer et applaudir. La loi doit être respectée, la force de l’Etat est aussi faite pour ça.
Tout notre soutien et notre sympathie au gouverneur de Tunis.
A quand les autres gouverneurs ?