Par le bout de la lorgnette : l’actualité en vrac !

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1) Saïd Aïdi limoge encore et toujours !!!

Le ministre de la santé publique a un faible pour la porcelaine de Limoges et comme c’est de la porcelaine fine et qu’il en use comme un pachyderme, il en casse à volonté ! Sa dernière victime, une autre décérébrée irrévérencieuse sans doute influencée par le vilain Néjib Karoui, est la Dr Rafla Dellagi, qui a refusé de valider un document élaboré par le staff du ministre et qui, selon la dame, ne répond pas aux priorité nationales de la prévention, rappelant que Dr Dellagi , pour les mauvaises langues qui mettent en cause sa compétence, est à la tête de la direction des soins de santé de base (DSSB).

Le "liquidateur" continue son œuvre d'extermination, prompt à dézinguer tous ceux qui s'opposent à son califat, le mufti de la République bananière ne décolère pas quand on l'envoie planter des choux. Ce gars n'est pas un ministre, c'est un videur de boîtes de nuit.

2) Grève des élèves, actes de vandalisme et violence…

Populisme et racolage ont été les ingrédients de la popularité de Néji Jalloul, or, les grandes réformes nécessitent de l'expertise, de vraies compétences, un bon diagnostic et une volonté réelle d'associer tous les intervenants afin de reconstruire sur des bases saines l'école tunisienne.

Le ministre grisé par ses shows quotidiens, a cru que les réformes se font et se défont selon son humeur, selon la vision tronquée de la vox populi, selon les thèmes racoleurs dont il use et abuse.

Le problème étant complexe, il nécessite du discernement et une grande concertation qui n'exclut personne, si l'intention est de sauver l'école publique d'une mort lente mais sûre.

3) Rattrapés par leur passé…

Au moins deux ministres du gouvernement Essid "bis" ont été rattrapés par leur passé. L'un concernant l'affaire du yacht d’Imed Trabelsi, l'autre à cause du poste qu'il a occupé à Tel Aviv, si on fouille bien dans les poubelles de l'histoire récente, on en trouvera bien d'autres dont le recyclage ne fait pas clameur.

Quand une rupture n'est pas définitivement consommée, il y a d'étranges retours de flamme.

4) Scandaleux et irresponsable!

En 33 ans de carrière, je me suis interdit de parler politique pendant mon cours et d’exercer une quelconque influence sur mes étudiants ou d'illustrer le cours par des exemples traduisant une forme d'adhésion politique ou idéologique.

Or, cet enseignant qui se croit sans doute fin et intelligent, alors qu'il est d'un pathétique hors du commun, propose ce genre d’exercice à ses étudiants...Mon souhait est qu'il soit sanctionné, bien que j'en doute...On comprend mieux l'état déplorable de l’enseignement en Tunisie livré à des crétins pareils!

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5) Saloua Charfi est victime de la troïkaphobie!!!Un psy vite!

A chaque fois qu'elle intervient pour analyser le remaniement ministériel, elle rappelle que c'est le legs de la Troïka (c'est devenu un tic, un abus de langage), faisant fi de 23 ans de mafiocratie et d'illettrisme planifié, des presque deux ans de Mehdi Jomaa, de l'année et quelques poussières du gouvernement Essid.

En fait, la bonne dame, dont le niveau d'analyse est digne d'un électroencéphalogramme plat, ressasse ses haines recuites et éructe comme une bégueule juste pour masquer sa totale incompatibilité avec ce statut d'intellectuel que lui octroie bénévolement plus sot et plus ignorant qu'elle.

A l'image de notre gauche épileptique, elle bégaie ses soliloques staliniens mais avec la naïveté d'une sœur carmélite.

Dans vingt ans, elle continuera de parler de la Troïka...c'est à désespérer de l'intelligence humaine!

Que de charlatans ce pays a-t-il supporté!

6) L'UGTT estime qu'elle doit être consultée et qu'elle a son mot à dire....

Le communiqué de l'UGTT est une déclaration de guerre à ce gouvernement remanié dont elle n'apprécie pas la composition.

L'UGTT est une organisation syndicale, et en tant que telle, son champ d'intervention est délimité.

Si toutes les organisations et associations doivent être consultées avant la formation d'un gouvernement, alors à quoi bon élire un parlement, avoir une majorité et une opposition ainsi qu'une Constitution?

Ce gouvernement ne fait pas et ne fera pas l'unanimité, sa composition mérite les critiques les plus féroces, mais l'UGTT doit comprendre que si elle veut être associée à la gouvernance du pays, elle doit se transformer en parti politique.
En outre, si nous ne sommes pas satisfaits de l'œuvre de la centrale syndicale, sommes-nous censés exiger l'éviction de ceux qui ont été mandatés par les syndicalistes pour les représenter?

Bien sûr que non!

Alors Monsieur Abassi, pourriez-vous tolérer que Essid exige votre départ ou celui de quelqu'un d'autre parce qu'il estime que la composition de votre bureau exécutif actuel n'est pas à même de réduire les tensions sociales???

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