Je prends le temps de répondre à certains de mes confrères qui ont eux aussi pris le temps de répondre à mon modeste post : le fascisme ne passera pas.
Contre tous leurs griefs à propos des « islamistes » et en particulier le « terrorisme » islamiste qui confinent à l’absurde et au fantasmagorique, je dis que nous sommes dans un État de droit, ils répondent qu’il n’y a pas d’État de droit. « Si », il y a un État de droit ou du moins des prémices d’un État de droit. Non Non Non.
Nous avons eu des élections libres et transparentes. Réponse : « Non » les élections ont été truquées et manipulées.
Admettons. Où changer la loi si ce n’est au parlement ? Non le parlement est truffé de terroristes et ainsi de suite et c’est le chat qui se mord la queue, la quadrature du cercle, le discours clos sur lequel on dissertait quand nous étions des élèves de première.
Formatés par le passé qui était apaisant pour eux il faut en convenir ; ils n’admettent pas qu’une société est nécessairement diverse et complexe, riche de ses contradictions et que nous devons faire la place les uns aux autres et qu’il faut débattre dans le champ social.
La réponse toute prête : utopie quand ils sont prévenants, on ne discute pas avec les terroristes dans l’immense majorité des cas.
Formule suffisante et ô combien indigente et dangereuse comme s’il appartenait à l’un et à l’autre de taxer l’un et l’autre de terroriste : exemple Madame Moussi.
Certains de mes amis et confrères ne se rendent pas compte que par leur outrance ils ne servent pas les causes de ce pays et ne contribuent en aucune façon à pérenniser la démocratie dans notre pays.
Quel gâchis et quel dommage !
L’inexcusable, l’inadmissible, l’intolérable.
Madame Moussi souille jour après jour la vie parlementaire, il n’y a pas d’autre qualificatif.
Imagine-t-on cela un instant aux Communes britanniques, au Bundestag allemand ou à la chambre des représentants en France. Cette femme aurait été considérée comme un cas psychiatrique et traité comme tel. Cette femme n’a pas sa place dans la vie politique. Il est intolérable que l’on ne puisse rien faire.
Il y va du salut de la République. Nous avons assez répété que cette femme, son parti et ceux qui derrière les rideaux la manipulent sont des fascistes.