Dans les guerres il n’y a qu’un perdant : le peuple. Et des gagnants : les criminels parasites du « Triangle de fer ». On désigne ainsi des groupes de pression composés de chefs militaires et de diverses agences gouvernementales se faisant des « couilles en or » en éviscérant les peuples lors des guerres et conflits déclenchés par leurs soins.
Depuis deux ans tout bientôt le prélude à cette Troisième Mondiale qu’on prépare de longue date a été le déclenchement par pandémie d’une peur panique des peuples et l’instauration de mesures pré-totalitaires les préparant à accepter le principe comme acquis. Une sorte de répétition générale pour accéder directement au monde d’après.
Le costume d’humain étant trop lâche à nos épaules, on nous fait adopter sans regret celui d’ectoplasme.
Vladimir Poutine a déclaré la guerre à l’Ukraine comme s’il s’agissait d’une affaire interne à la Russie. Et cela l’est, en quelque sorte. Il prévient les va-t-en-guerre du bloc occidental que toute intervention extérieure sera punie de telle manière que les intervenants garderaient un souvenir pérenne.
Tout opposé à la guerre que l’on soit, force est de reconnaître que depuis 10 ans l'Occident, sous la houlette américaine, a tout fait pour la provoquer en colonisant grossièrement l’Ukraine par le biais d’une Europe jouant les mercenaires des Etats-Unis.
Demandons à Biden, père et fils, quelle fut l’implication américaine réelle dans cette sinistre stratégie.
Ces artistes du crime sont poussés à la besogne par des industriels et des parlementaires des différentes commissions de Défense afin d’endormir l’opinion lui faisant prendre des vessies pour des lanternes. Exagéré ? Nous n’avons qu’à nous remémorer l’obligation vaccinale, le port du masque, le confinement, le couvre-feu, la vaccination des enfants…
Des décisions n’ayant d’autre but que celui de générer des milliards de profit dans les caisses des assassins en éradiquant à tout va !
Des scélérats qui poussent le cynisme jusqu’à parler de « guerres justes », comme celles que ce répugnant BHL et la cohorte de chiens enragés exhortent à faire sur des plateaux télés complaisants, où le journaliste est ce néo-prostitué que son proxénète de patron envoie attiser le feu pour entretenir le business !
Espérons que les Etats passe-plat, poussés par une opinion enfin éveillée, ou en voie de l’être, refusent de participer à ce qui serait un véritable génocide.
Pour mémoire, la Seconde guerre Mondiale a fait entre 70 et 80 millions de morts !