Et si les Doyens de Droit démissionnaient de leurs postes par conviction, ou à défaut, se réunissaient pour présenter un projet de constitution donnant lieu - s'ils en sont convaincus-, à un régime purement parlementaire qui conviendrait mieux à la Tunisie, incluant explicitement :
(1) les libertés de s'organiser en partis politiques,
(2 ) l'irréversibilité juridictionnelle contre les abus constitutionnels passés et futurs,
(3) la criminalisation de la normalisation avec l'entité sioniste,
(4) l'interdiction à tous les participants à la préparation de cette nouvelle constitution de se présenter à toutes les élections,
(5) la criminalisation des médias non professionnels ainsi que des agences de sondage d'opinion par le biais d'un organisme indépendant créé avant les élections.
(6) l'instauration de la cour constitutionnelle comme préalable aux futures élections.
(7) un seuil (5-10%) d'éligibilité aux élections parlementaires sur un seul tour.
Voyez-vous, c'est de la vertu de la Démocratie.