Je n’irai pas jusqu’à dire que l’État profond est à genoux, ni sur le point de disparaître de la scène mondiale, mais une chose est sûre, il est secoué par la résistance des « moins que rien », depuis qu’en 2020 il a lancé officiellement l’Agenda 2030 avec le très fructueux Covid-19 aux funestes desseins.
L’enchaînement avec l’Ukraine, pays dont il a fait le laboratoire de toutes les malfaisances, eut pour effet d’injecter une dose supplémentaire d’anesthésiant dans des esprits choqués par la violence de l’attaque dont ils venaient de faire l’objet.
Manque de bol, après un départ canon, la belle mécanique, lancée à tout berzingue, connaît des ratés et traverse une zone de turbulence qui rend affreusement nerveux, le très actif dignitaire de l'Empire, Klaus Schwab en personne. Imaginez son dépit et son courroux : lors d’une de ses dernières interventions, avec la mise en scène que l’on sait, les journalistes ont osé bouder son invitation, allant lambiner dieu sait où, le laissant planter là comme un vulgaire responsable d’association communale !
Les rats quitteraient-ils le navire ?
Cet État profond – le véritable État en réalité – installé dans le « Nouveau Monde », avec des ramifications nombreuses dans l’ancien, distille ses consignes à une escouade de domestiques corrompus, chefs de fiefs dans la vieille Europe, ayant pour mission son délitement, afin de lui faire la peau.
Prenant les humains pour des animaux sans voix, créant et multipliant les enclos de parcage, pour un contrôle absolu des vies, l’État profond a oublié un paramètre important qui va lui coûter cher à l’heure des comptes : ces « animaux » sont doués de parole, ont une intelligence dont ils se servent comme d’une arme de défense, certes dérisoire, mais assez efficace pour faire dérailler la bécane.
Ayant pris conscience du crime que l’Élite préparait, ils ont décidé de réagir à ce que l’on considère une tentative de génocide qu’il faut stopper urgemment, question de survie pour l'humanité.
Pour compléter le tableau, l’État d’Israël se donne carte blanche pour parachever le génocide entrepris contre le peuple palestinien il y a 76 ans !
Chose étrange, c’est en Israël même que la contestation contre le gouvernement fasciste de Netanyahou est la plus acerbe. Car sur nos terres hexagonales, le moindre souffle de solidarité à l’égard des Palestiniens est immédiatement démoli par une opinion manipulée, des responsables politiques aux ordres et une communauté sioniste soucieuse de tout régenter, comme si nous avions affaire au Ministère de la Vérité dans le roman de George Orwell.
L’exemple de monsieur Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, perdant les pédales, accusant le dernier Ballon d’Or français, Karim Benzema, de faire partie des Frères musulmans, pour avoir posté un message de solidarité aux victimes de Gaza, en dit long sur l’état de déliquescence d’un gouvernement qui fait du déni son programme politique. Une sénatrice hystérisée, Valérie Boyer, est allée jusqu’à proposer qu’on lui retire le Ballon d’Or gagné par son talent et celui de son équipe, le Real Madrid, poussant la baballe jusqu’à demander la « déchéance de nationalité » !
Détail qui a son importance : c’est en lisant le message haineux du ministre de l’Intérieur que KB9 a appris qui étaient les Frères musulmans, car jusque-là, son talent, c'est sur un terrain de foot qu’il l’exprime et pas dans les réunions militantes d’un groupuscule quelconque !
Voilà les gens exemplaires qui gouvernent la France ! Cette France qui, avec l’Angleterre, le Japon et les États-Unis, ont voté contre un texte de la Russie pour un cessez-le-feu humanitaire sur la bande de Gaza, au Conseil de sécurité de l’ONU !
Ces gens qui prêchent une morale à géométrie variable sont les larbins du pouvoir profond dont les fissures commencent à se voir sur la façade de l’immeuble. Un immeuble qu’il faut à tout prix mettre au sol pour la sécurité de tous.
Gaza n’est qu’un pas de plus dans le délire sioniste
Le hic, quand il s’agit d’Israël, c’est qu’il faut mettre des gants ! Des gants pourquoi ? Pour dire que les dirigeants israéliens pour atteindre leurs sales objectifs du « Grand Israël » n’hésitent pas à sacrifier leur peuple et le pays hôte, qu’ils squattent sans payer le loyer depuis la fin de la Seconde guerre mondiale ? Passer sous silence que l’affaire ukrainienne leur a donné des ailes pour ouvrir la voie à une déflagration mondiale, élargissant par-là, pensent-ils, les limites d’un territoire usurpé ? Faire de l’autre l’ennemi que l’on doit réduire en poussière, comme cela a été fait avec l’hôpital de Gaza ?
Toujours ce vieux rêve du règne d’Israël qui passe, selon les « saintes » écritures, par la « destruction d’Edom (l’Europe chrétienne) et la destruction des Ismaélites, les Arabes (par extension le monde musulman), descendants d’Ismaël. » (1)
Cela n’est pas nouveau et ne cessera pas tant qu’on n’arrêtera pas le délire d’extermination de civilisations « concurrentes » par une minorité criminelle. Car, qu’on le veuille ou non, cette minorité n’a que faire de la vie d’autrui, à commencer par celle de sa propre communauté qu’elle n’hésitera pas à sacrifier, si sa « réussite » doit passer par là !
Pour ceux qui aiment les films politiques et les romans d’espionnage, il faut savoir que le contenu n’est que le pâle reflet de la réalité, dans la mesure où romans et films sont là pour guider et rassurer le spectateur, car à la fin, outre une lecture linéaire, tout le monde se dit : « Mais où vont-ils chercher tout ça ?! », sans se douter que le film et le roman ne sont que l’édulcorant d’une réalité absolument plus glauque que l’on cautionne par conditionnement, tels des automates. Par peur, par lâcheté et par ignorance.
Le moment est bien choisi par les innocents aux mains sales pour relancer la guerre des Faux drapeaux, attribuant à Untel ce qui ne lui appartient pas, préparant les esprits à accueillir l’Agenda 2030 bras ouverts, cisaillant les libertés comme on élague les ifs à l’entrée des cimetières !
Si l’industrie du cinéma est en crise, c'est parce qu’elle n’arrive plus à créer, la réalité dépassant largement l’imagination des créateurs. Désormais, les films, ce n’est plus du cinéma, comme à l’époque de papa/maman. Les acteurs que l’on voit à l’écran ne sont pas des personnages de rêve, cette utopie qui nous servait de combustible dans la vie.
Les héros de ces sinistres scénarios, c’est nous tous, dans la noirceur de nos peurs !
Et pas de happy end dans cette histoire, où à la fin des fins, les acteurs se lèvent et endossent les costumes d’autres personnages dans une nouvelle histoire. Ici, on meurt pour de vrai !