Macron, Onfray, Gaza !!!

Un pseudo-Chef d’État européen

Un pseudo-Chef d’État européen, séduit « intus et in cute » (« de l’intérieur et sous la peau ») par les alléchants organismes du capital financier, se laissant mouvoir par la “main invisible” du marché militaro-industriel et remplissant sa fonction de subalterne politique de troisième classe après le Royaume Uni et l’Allemagne au service de l’imperium américain à Washington, ne peut que faire des surenchères pour faire valoir son appui à un État aussi belliqueux par sa nature propre que l’État d’Israël.

De surcroît un État qui, au lieu d’une bombe à effet massif immédiat, atteint l’objectif nucléaire par “petite monnaie”. Cet étrange “personnage” européen, politique parvenu et immature en matière de politique, ignore sinon ce que c’est que la guerre tout court, du moins ce que c’est qu’une guerre injuste. Au moyen-âge, ce président européen n’aurait pas pu être qu’un bouffon du roi.

Gaza selon un philosophe de "A = A"

Pour Michel Onfray, un philosophe tantôt policier tantôt militariste mais toujours un imposteur obsédé par la guerre des races, "bombarder, c'est bombarder". Le droit de la Guerre n'existe pas ; non plus un "minima de malis".

Quand cette tautologie de « A=A » (تحصيل الحاصل: هز من الجابية حط في الخابية) est appliquée dans le domaine de la culture et de la politique, elle ne relève plus seulement d'une identité vide, mais renvoie aussi et surtout à un fascisme intellectuel sournois et rampant en France et en Europe.

Mais si je devais, par la même "logique", donner raison à Onfray, je pourrais lui dire : "un philosophe superficiel est un philosophe superficiel" ou, et c'est encore plus vrai pour qualifier Onfray : "un raisonneur mixeur de toutes sauces et un raisonneur mixeur de toutes sauces".

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