Nos représentants ont baissé leurs frocs devant les États-Unis, ont vendu le pays au plus offrant et ont laissé le contrôle de l’opinion à un capitalisme vorace et un sionisme radical.
Par le biais de la galaxie Soros, on a ouvert les vannes à une migration sauvage, créant par là un déséquilibre néfaste dans les sociétés occidentales, haine et violence comme déclencheurs, afin d’instaurer le totalitarisme de demain, en avance sur ses temps de passage, comme on dit dans le jargon sportif.
En cette période de barbarie, Dieu est baladé de fenêtre en balcon pour justifier ce qui n’est que déni. C’est en son nom qu’on mugit du soutien, qu’on brandit des symboles, qu’on plante des drapeaux en des endroits improbables, et qu’on crée les conditions d’un chaos irrémédiable, avec comme point de fixation « si tu n’es pas avec moi, tu es contre moi » !
C’est en son nom qu’Israël veut vider de ses habitants une terre confisquée, organiser la diaspora des survivants, les expédiant dans les pays limitrophes ou plus lointains. Et soudain, une idée moins noble se fraye un chemin dans les esprits, du moins chez ceux qui ne se laissent pas endormir par la rhétorique : Et si Dieu n’avait rien à voir là-dedans ? Et si le terrorisme n’était que la façade criminelle d’une opération de nature encore plus odieuse : les gisements gaziers de Gaza qui, juridiquement, appartiennent à la Palestine, mais dont Israël contrôle les réserves ?
Tandis qu’au cœur ou à la périphérie de ce désastre humain, le bras droit de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari, rêve de laboratoire humain en terre palestinienne, tout comme on fait avec les rats, et de « guerre nucléaire » pour nettoyer le tout !
N’ayant pas réussi à sortir du tribalisme ancestral, Israël condamne son propre peuple à quitter la grande famille humaine. Car, pour qui sait regarder, la Terre promise peut se résumer d’un trait brutal : expansionnisme mégalomane, avec le Grand Israël, pétrole et gaz en ligne de mire. La dialectique venant s’y lober pour cacher la barbarie du projet !
Pendant ce temps, maintenant que les extinctionnistes, poursuivant leur stratégie du chaos, ont trouvé à Gaza de quoi occuper le gogo dans le jeu du pour et du contre, on rapporte avec insistance que les États-Unis et l'Union européenne négocient avec les vilains russes la capitulation de Kiev ! Exit Zelensky, un animal pourtant si fidèle !
En un mot comme en cent, cela s’appelle une trahison. Curieusement, personne n’est surpris par ce lâchage grossier, comme si l’opinion avait, conscient ou inconsciemment, assimilé la félonie occidentale comme un fait coutumier : d’abord, on trahit l’allié, ensuite, on l’assassine – Saddam, Ben Laden, Kadhafi, pour ne citer que des cas récents…
L’humiliation des globalistes en Ukraine est totale. N’ajoutons pas de l’huile sur le feu en ce qui concerne la France dans les futures négociations de paix, elle compte pour clopinettes, notre Mozart régional ayant poussé notre diplomatie dans le caniveau !
Il ne faut donc pas s’étonner si le Père Vladimir déguste cet instant comme on sirote une vodka avec son béluga sur les bords de la Volga, après avoir agrandi le patrimoine de la Russie, en annexant Kharkiv dans son intégralité, Kherson, Zaporojie et y compris peut-être Odessa !
Bref, à force d’avoir pris Poutine pour un idiot – terrible erreur ! – « la Russie s’enrichirait de tout le territoire au-delà du Dniepr, la zone la plus riche en ressources minérales et l’industrie la plus développée ».
Comble de l'ironie ! L’Occident chercherait à négocier la conservation de terres agricoles qui appartiennent à Rothschild et à Vanguard en Ukraine !
Par la porte ou par la fenêtre, les amerloques ont des chats noirs plein les placards et cela ne porte pas chance, comme on dit. Ils s’emploieraient désormais, toujours selon la rumeur, à éteindre l’incendie en Israël, car si ça « dégénérait », cela foutrait en l’air leur position dans la région !
Et penser qu’on célèbre ces jours-ci la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie !
J’arrête là pour aujourd’hui, la tempête Domingos m’a tourneboulé l’esprit. Au point que mes potes de la marge pensent que j’ai viré ma cuti, que je deviens avec l’âge un « sale borgne » !
Je leur promets le même type de menu à la prochaine chronique.