Le Figaro est un sinistre quotidien de la droite française. Il est connu par son islamophobie et arabophobie. Il cherche d'ailleurs à entretenir cette funeste image qui est devenue depuis lors sa marque de fabrique.
1/ Le Figaro : un quotidien sioniste et islamophobe jusqu'à à la moelle !
Secret de polichinelle, le quotidien français est très proche de la droite de l'entité sioniste : Son Rédacteur en chef est un sioniste déclaré et décomplexé. Mieux, le Rédacteur en chef du Figaro magazine est un israélite sioniste qui passe son temps à gerber sa haine sur l'islam et les musulmans !
Bien entendu, tout ça au nom de la liberté d’expression ! L'attachement du Figaro à la liberté d'expression est total, il ne fait pas l'ombre d'un doute, surtout quand les musulmans et les arabes sont la cible !
Prendre ce torchon pour une référence, c'est comme se référer aux analyses en économie de Moez El-Joudi ou encore Ezzeddine Saïdane qui sont plus dictées par des ambitions personnelles que par une quelconque rigueur scientifique.
2/ Un limogeage qui s'inscrit dans la logique des choses !
Pourquoi les Tunisiens ont-ils ce complexe à l'égard de tous ce qui est français ou d'origine française ? Certains vont me rétorquer l'argument classique qui consiste à dire « le complexe du colonisé » ! Non ! C'est pire ! C'est de l'aliénation culturelle inconsciente ! Et il faut s'en défaire par une réforme en profondeur de notre système d'éducation Nationale.
Le limogeage de notre représentant à l'ONU trouve ses origines dans les raisons même de sa nomination. Une nomination d'ailleurs fortement décriée, contestée, par la presse tunisienne. Mohamed Nacer, président par intérim, l'a nommé non pas pour ses compétences, mais par fidélité à leur amitié ! En somme, la République des copains : les amis d'abord !
Il fallait donc mettre les pendules à l'heure ! Kaïs Saied, Président élu au suffrage universel direct est en train de mettre de l'ordre dans la maison Tunisie. Et il faut le soutenir. Il s'agit d'une personne authentique, intègre et honnête.