Des morts par centaines cette nuit qu’on claironnait à travers les ondes au printemps dernier au cours d'une campagne médiatique d'une violence inouïe ! Puis, l’été approchant, fallait lâcher un peu la laisse pour faire transhumer le troupeau, on se mit à parler de « contamination », de cas, de foyers pandémiques, de tests « obligatoires », de la létalité en sursis, de vaccin.
De mutation du méchant virus ( ouh-ouh! ). On parla de guerre de tranchée, sorte de nouveau Chemin de Dames sanitaire, de stratégie pour rompre le front du virus, car le « ventre est encore fécond » ! La France est devenue en quelques mois un asile, la peur jouant le rôle de psychotrope, le patient dormant d’un sommeil agité dans sa carrée avec fenêtre sur cour.
Chose curieuse, les enterrements n’ont pas été plus nombreux cette année que l’année précédente ou celle d’avant. Est-ce pour cette raison que le gouvernement interdit aux amis proches des familles des défunts de venir rendre un dernier hommage ? Des fois que des mauvais esprits n’aient idée de contester la version médicale de « mort par Covid » !
La nuit s’abat sur la France. A écouter le gang du pouvoir et des médias on se croirait revenus à la période médiévale, lors de la terrifiante peste bubonique. Imaginez : en quelques années, la population de l’Europe est passée de 50 à 25 millions d’habitants ! Des grands bûchers cramaient nuit et jour les pestiférés par charretées, les survivants priant le ciel pour que la cendre ne les contamine pas. Heureusement, nous n’en sommes pas là !
De nos jours, le pestiféré se porte bien et se procure des masques sur ses propres deniers. Il pousse la discipline jusqu'à pointer un doigt préventif sur le voisin afin de lui faire observer la distance gouvernementale pour éviter, non point d'attraper le virus, mais le contact social, puisque le seul médoc susceptible de guérir le patient, l'hydrochloroquine, est interdit par le gouvernement. Big Pharma oblige ! Car rien n’est plus mauvais pour les affaires que le refus d'un vaccin par une population de 68 millions d'habitants ! Le manque à gagner !!!
Si la létalité du virus laisse dubitatif, voire perplexe sur le terrain (plus personne ne semble mourir d’autres causes que du Covid), l’écroulement de l’économie avec confinement, couvre-feu et alertes sanitaires bidons semble faire partie d’un plan soigneusement préparé, dont le but final est l'instauration d'une gouvernance globale et la dictature subséquente. Orwell n'avait pas rêvé !
Aucun doute que les chantres de la gouvernance mondiale et de la pensée unique mettent les bouchées doubles pour développer l’espèce de sous-hommes dont le Pouvoir profond rêve depuis longtemps.
Si nous voulons sauver ce qui peut encore l’être du « monde d’avant » nous devons devenir des résistants, avec les risques que cela comporte.