Il faut arrêter les frais, la loi doit retourner au parlement ( ce qui n’est plus possible) ou il faut songer à exiger la démission du président de la république.
Reprenons les choses par le principe des lois qui régissent les partis et celui des associations dans la majorité des démocraties occidentales et autres ainsi qu'en Tunisie ou les pas des législateurs titubent entre le constitutionnel et le politique.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع