Ceux qui ont prédit l'échec de la révolution du sourire après le scrutin administratif du 12 décembre ne connaissent pas la nature du Hirak. Pour échouer, il faut avoir un ennemi, or le Hirak n'a pas d'ennemi. Ni l'armée, ni l'Etat ne sont ses ennemis car ils sont SON armée et SON Etat.