L'apparition hier de Macron sur la chaîne Al Jazeera n'a rien d'une interview c'est plutôt un droit de réponse qu'il a sollicité auprès d'Al Jazeera pour donner une deuxième lecture à son discours, qui, selon lui, a été mal interprété, en accusant à la foulée de mensonges certains médias Arabes et certains admins sur les réseaux sociaux.
Il a axé sa réponse sur la sacralité de la liberté de presse et la liberté d'expression qui constituent, dit-il, la base de la démocratie en France et sur son rôle en tant que président de la république de les défendre.
Il a en outre essayé de se justifier en précisant qu'il n'a rien contre l'islam ou toute autre religion mais qu’il refuse tout extrémisme et plus particulièrement l'extrémisme islamiste qui refuse les lois françaises et qui cherche à imposer par la violence ses propre lois.
Tout cela est bien beau Monsieur Macron mais c'est un discours purement politique dont on nous a habitué et qu'on nous sort à chaque crise touchant à l'islam.
Je voudrais vous rappeler Monsieur le Président que seule la liberté de conscience est absolue, la liberté d'expression et de presse ne le sont pas surtout après avoir voté la loi sur l'antisémitisme qui protège uniquement les juifs mais non les musulmans qui sont aussi des sémites et quiconque ose critiquer la juiverie en France tombe sous l'effet de cette loi scélérate dictée par le CRIF et les sionistes.
L'exemple de l'artiste et l’humoriste Dieudonné qui s'est retrouvé interdit de spectacles sur tout le territoire français pour une simple quenelle est ma preuve irréfutable de ce que j'avance.
La caricature du prophète en elle-même sur une feuille de choux aurait pu passer sous silence sans son amplification par votre discours satanique et votre accord tacite et provocateur de son affichage en grand format sur le pan d'un mur à Paris.
Il y a de petits faits et de petits gestes qui illustrent votre haine pour l'islam et qui en disent plus long que votre mascarade sur Al Jazeera.