Dans les années 60 et 70, de jeunes étudiants tunisiens avaient choisi l’extrême gauche pour s’opposer au pouvoir absolu du président Bourguiba. On les a appelés les « perspectivistes ». Ils subirent les pires exactions. Près de 50 ans plus tard, la chambre spécialisée de Tunis écoute les crimes com