Bajbouj s'était présenté comme l'homme providentiel, le sauveur national du pays des griffes des " khawnjia ", le seul rempart contre l'obscurantisme qui menaçait gravement le pays.
On avait applaudi des pieds et des mains quand les syndicats sécuritaires ont crié dégage au visage des trois présidents à l'Aouina et quand ils ont été caillassés à Sidi Bouzid.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع