« Un autodafé pour les orientalistes ». Tel était le titre de l’article que le journaliste du « Monde », Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, consacrait au livre d’Edward Said, « L’Orientalisme », qui, en 1980, venait d’être traduit aux Éditions du Seuil. La levée de boucliers contre l’ouvrage fut telle qu’i