Il se trouve malheureusement que Klemperer non seulement ne s’entend pas du tout avec Rousseau (ce ne sont pas les bonnes raisons qui manquent d’entrer en dispute avec celui-ci, sur plus d’un objet), mais s’y tient pour les pires des motifs : il voit en lui, ni plus ni moins, un ancêtre et même un i

Nous en payons le prix, plus que jamais, dans le temps de la destruction de Gaza, qui se trouve être aussi celui de la purification ethnique et de la relance impunie des pratiques génocidaires. C’est bien la chose la plus sombre et désespérante qui soit : ce qui, aujourd’hui, arrive à Gaza, nous exh

Tout au long du Journal (1933-45), Klemperer revient de façon insistante, lancinante presque, sur la question du sionisme.

Klemperer et sa femme, Eva, ne peuvent pas vivre sans fumer. Alors, quand les pénuries et les restrictions leur rendent impossible l’accès au tabac, ils fument n’importe quoi – des feuilles de mûrier, des mégots, des cigares infâmes, ils se livrent à toutes sortes de trocs et de trafics, ont recours

Tout porte, a priori, à opposer l’approche de la question de la langue (l’allemand comme langue maternelle) mise en avant par Hannah Arendt dans son célèbre entretien avec Günter Gaus

Aujourd’hui, les mots « fanatique », « fanatisme » sont plus que jamais au goût du jour, qualifiant l’altérité menaçante du terroriste, de l’islamiste et autres ennemis de la civilisation occidentale…

Bien sûr que les exactions commises par l’Etat d’Israël nourrissent un nouvel antisémitisme.