La re-lecture de ces textes m’a persuadé que, s’ils contenaient des erreurs ou des insuffisances, c’était dû davantage à l’insuffisance ou l’inadaptation de leurs outils d’analyse ou au manque d’une clarté que les événements futurs révèleraient, que d’une obstination dans un raisonnement fermé.
Alors que s’éloigne irrésistiblement la grande secousse printanière de 2011, en Tunisie et au Liban, deux consultations électorales viennent, dans des contextes très différenciés (municipal en Tunisie le 6 mai et législatif au Liban le 12) de donner une idée de l’état 2018 du rapport des forces poli
Plus cynique que le monde inerte face à la «tragédie syrienne», sont certains écrivains et activistes de gauche, arabes et occidentaux, qui se sont toujours arrangés pour faire diversion par la “théorie du complot” dès que se posait la question du droit des Syriens à la liberté et à la dignité.
Tout le monde l’aimait beaucoup, il avait une personnalité si attachante qu’on ne s’intéressait qu’à ses propos, toujours originaux et intéressants, et souvent pleins d’humour.
Oui nous sommes aux portes du pouvoir et oui il nous faut nous y préparer. Le fruit est mur, pourri de l’intérieur. Il ne demande qu’à tomber. Il va tomber. Fini la résistance, fini le « ne rien lâcher » il s’agit maintenant de conquête et de victoire.
La gauche devrait savoir que l’enfer de l’impérialisme aujourd’hui, comme du colonialisme hier, est toujours pavé de bonnes intentions.
Le système en place depuis une trentaine d’années est caractérisé par l’extrême centralisation du pouvoir dans toutes ses dimensions, locales et internationales, économiques, politiques et militaires, sociales et culturelles.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع