Faudrait quand même que quelqu’un pense à changer les piles (ou pas) !

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« Vaincre Macron » dit-il.

Je n’ai lu que le titre, c’est tendance, et le contenu ne devrait pas manquer d’intérêt vu la qualité de l’auteur (Bernard Friot) mais c’est quand même faire un bien grand honneur au foutriquet sorti de la cuisse de Rothschild que de chercher à l’affronter.

Défaire celui qui fut fabriqué devrait suffire, voire même se contenter de le démaquiller.

Car or le programme de contre révolution libérale réactionnaire et de régression sociale vieux de 40 ans au profit du 1% dont on connait le médiocre catéchisme sur le bout des doigts et qui n’est rien d’autre que l’accaparement de nos droits, de nos biens collectifs et de ce qui reste de nos richesses au profit d’une ultra minorité violente et cupide, tout le reste n’est qu’affaire d’esthéticienne et de trompe couillon.

Sous le fond de teint :

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La vieillerie.

Quand un petit cabot en panoplie de pompier ou de footballeur ou de cow-boy, veut, exige - et sinon quoi ? il se roule par terre et retient sa respiration ? - le démantèlement complet, vérifiable et irréversible des programmes nucléaires et balistiques de la Corée du Nord - alors qu’il n’est même pas foutu de se faire obéir par son chien, ça frise l’adolescence politique attardée.

M’est avis que les chinois sont terrifiés et que Poutine fait dans son calbut.

Bref, maintenant qu’il est établi dans le cercle des puissants du monde que Macron est un creux déjà cuit, abordons le sens du vrai combat : c’est sur le champ culturel et communicationnel que tout se joue. Et vu l’hystérie de la caste journalistique vautrée dont l’opportunisme et la servilité qui leur sert de plan de carrière, il semble bien qu’il y ait panique à bord et que, or la puissance médiatique au quasi monopole, ça commence à sortir les rames et les canots de sauvetage.

Car soyons bien persuadé que le nuisible, plus ça jappe moins ça mord.

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A nous donc, non pas de répondre aux piteuses provocations, car répondre à quoi ? S’ils ont la maîtrise des tuyaux cela fait belle lurette qu’ils n’ont plus de parole, que l’argumentaire est d’une vacuité effarante et que le mascara n’arrive plus à masquer le vide.

A nous donc de mener le bal, de les faire courir dans l’arène, et de choisir les os que nous allons leur donner à ronger (petit). (Sic).

Car depuis que la caste aboyeuse à rangé son épouvantail Lepen dans le tiroir du placard quelque part jusqu’à la prochaine fois, le fait que nous soyons désigné comme le seul adversaire, le seul qui les effraie, montre bien l’emprise que nous avons maintenant dans le jeu politique.

Nous sommes la menace.

Qu’ils aient peur. Qu’ils s’affolent comme des lapins pris dans les phares.

Oui nous sommes aux portes du pouvoir et oui il nous faut nous y préparer. Le fruit est mur, pourri de l’intérieur. Il ne demande qu’à tomber. Il va tomber. Fini la résistance, fini le « ne rien lâcher » il s’agit maintenant de conquête et de victoire.

Il s’agit aussi de créer nos propres canaux d’information. Nous sommes 7 millions d’électeurs, soit 7 millions de lecteurs, d’auditeurs, de téléspectateurs potentiels. Plutôt que d’infiltrer leurs « C. de la merde » leur système endogamique à l’agonie et de s’indigner que ça pue, notre priorité doit être de créer nos propres médias.

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Nous avons l’énergie, nous avons les talents, nous avons les contenus : notre projet immédiat doit être consacré à la plomberie.

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