en discutant avec des amis étrangers de nationalités différentes, ils marquent leur étonnement à l'égard des avis exprimés en public sur la politique monétaire en Tunisie…
Le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie feint-il de n’avoir pas envisagé les retombées du relèvement du taux d’intérêt directeur et donc du TMM, trois fois de suite en un an, sur les crédits immobiliers, particulièrement ceux à taux variable ? Ou bien cela n’est-il pas son problème ?
Le pays est gouverné par la mafia du capital, via des agents rémunérés en extra.
Plus généralement, l’idéologie comble le déficit de la raison (des désaliénés), camoufle l’échec, mystifie les conflits d’intérêt et justifie l’injustifiable.
Les Tunisiens se sont réveillés hier au bord de la crise de nerfs, en apprenant le relèvement par la Banque centrale du taux directeur, porté à 7,75%, et par contrecoup du taux moyen d’intérêt sur le marché monétaire bientôt à hauteur de 8,25%.
Omar El Béhi omet de mentionner que les GMS génèrent une forte profitabilité grâce aux marges arrière imposées aux fournisseurs, aux sur-tarifications supportés par les clients, et aux produits en intérêts sur l'excédent de trésorerie nés du décalage entre encaissement et décaissement, .....
A fin mars, l’INS enregistre un nouveau pic pour la hausse des prix : +7,6%. Un phénomène qui devient structurel, sape le moral des ménages, agresse la centrale syndicale, et fragilise une éventuelle reprise de l'économie nationale.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع