Le problème est l’effet boule de neige : les prêts stériles se suivent et s’accumulent, sans pouvoir être employés dans l’investissement ou dans la production, provoquant ainsi un surendettement toxique de l’Etat.
Le recours démesuré de la Tunisie à l’endettement extérieur improductif, ne peut jamais contribuer à la croissance du PIB. Bien au contraire, il ne fait qu’aggraver l’insoutenabilité de la dette et l’exposer au risque de faillite irréversible.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع