La République espagnole croyait à la démocratie parlementaire, et Franco a instauré sa dictature. Salvador Allende croyait à la démocratie parlementaire, et on a eu Pinochet. Evo Morales croyait à la démocratie parlementaire, et un coup d’Etat l’a chassé du pouvoir. Illustrations parmi tant d’autres
La reconnaissance rapide des États-Unis aux Forces Armées Boliviennes pour leur participation au coup d’État qui a expulsé le président Evo Morales du gouvernement n’est pas une surprise, elle ne fait que suivre une ligne cohérente de défense des intérêts économiques et géopolitiques.
Le fascisme, la haine raciale, ne sont pas seulement l’expression d’une révolution qui a échoué, mais, paradoxalement aussi, dans les sociétés postcoloniales, le succès d’une démocratisation matérielle obtenue.
Le Coup d’Etat contre Evo Morales s’inscrit dans un contexte international où différents facteurs montrent que les États-Unis sont en train de perdre leur différend hégémonique avec le bloc sino-russe et ceci sur les plans économique, géopolitique et technologique. ..
sa canne guidait ses pas car elle n'avait plus de destination...elle marchait juste pour marcher...personne ne l'attendait plus, elle n'allait voir personne…
Il y a une complète nécessité de l’affaiblissement de la puissance de coercition de l’État pour que puisse se développer l’alternative en provenance de la société civile. […]
Le Mékong est, comme le Gange et le Brahmapoutre, un fleuve mythique de l’Asie du sud-est
Les Semeurs.tn الزُّرّاع