La Turquie est actuellement au centre de fortes tensions politiques après l’arrestation d’Ekrem Imamoglu, maire d’Istanbul et figure de proue de l’opposition.

L’Occident a perdu la Turquie non pas à cause de la dérive autoritaire d’Erdogan, mais à cause d’une série d’erreurs de jugement typiques d’une civilisation en train de s’estomper.

Bachar est parti. Apparemment, ses bagages étaient prêts. C’est peut-être la meilleure chose qu’il ait faite au cours de sa carrière politique : avoir compris que les jeux sont faits et ne pas avoir cherché à faire couler encore plus de sang des Syriens.

Pourquoi les Palestiniens et Libanais ne peuvent pas se réjouir de l'offensive des milices pro Erdogan sur Alep…

La Turquie du « sultan » Recep Tayyip Erdogan continue de surprendre : le ministre de la Défense, Yaşar Güler,

Les ouvertures de la Turquie au président syrien Bachar al-Assad, la réadmission de la Syrie dans la Ligue arabe, l’élection du réformiste iranien Massoud Pezeshkian et la guerre sans fin à Gaza soulignent tous la nécessité pour les États-Unis de recalibrer leur politique syrienne.

La décision de la Turquie sera certainement bien accueillie par les citoyens arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Ils citeront probablement l’embargo d’Ankara sur Israël comme un exemple de la façon dont les pays musulmans devraient traiter Israël et appelleront leurs gouvernements à faire d