Le dialogue devra mettre l’accent sur les pays d'origine de ces migrants et les pays frontaliers de l’Afrique sahélienne et principaux points de transit à savoir la Libye et l'Algérie.
La Tunisie ne « fait pas le boulot », ce pour quoi elle est payée, car l’Italie paie la Tunisie pour retenir ses nationaux qui fuient leur pays vagues après vagues. Elle ne fait pas assez pour les empêcher de déferler sur l’Italie et sur l’Europe. Triste état des lieux et triste engrenage.
Pour les parents, ce n’est pas seulement une « Harga »...c’est une « Chawya »…c’est un rapt qu’ils ne peuvent pardonner à ceux qui, depuis déjà huit ans, ont promis de l’espoir et un meilleur vécu.
Ces dernières années, les innombrables drames humains individuels de ces exils de guerre devenaient « spectaculaires » par les victimes de naufrages de frêles barques entre la Libye et la Sicile (Lampedusa...) et les blocages de Calais (Sangatte...).
Les Semeurs.tn الزُّرّاع