Face à tant d’inconscience de la situation précaire du pays et au corporatisme qui fait fi de l'intérêt national pour saisir toute occasion d’une quête de “légitimité” ou de “paix sociale”, on ne peut s’attendre qu’au pire qui pointe déjà à l'horizon.
Un pilier de l’ordre symbolique tombe et c’est un grand fracas. Le mot interdit, ou plutôt le mot réservé — réservé à « eux », les « autres », le Hongrois, le Turc, le Russe – vient d’être dit en France, à propos de la France : illibéralisme.
La (re)solution pour la France n’est pas facile dans un contexte international détourné par les maîtres du capital qui exigent et même convainquent leurs esclaves de travailler plus longtemps pour la même ration et, de plus, de le faire de leur propre gré. Pour l’Uruguay, en raison de son contexte e
Quelques semaines après l’accession de M. Emmanuel Macron à l’Élysée, un de ses partisans, l’actuel président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, résuma la politique économique et sociale qui allait suivre
Même l’éditorialiste du Monde s’en est aperçu : une situation est en train de se former — une « confrontation ». Entre « deux visions irréductibles », dont l’issue sera tranchée par une « bataille politique ». Tant de mots belliqueux dans l’organe de la démocratie libérale avancée (Giscard, Le Monde
D’un certain point de vue, la grève salariale, en tant que telle, est la plus fade des grèves …
Dès janvier 2023, l'État remettra de nouveau ses mains dans les poches des retraités pour leur faire payer la contribution de l'employeur qui n’est autre que lui-même.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع