-Tout le mal qu'elle a fait, sans le vouloir, à la jeunesse tunisienne, déjà en perdition, en mettant au monde cette progéniture…
-Le mauvais exemple véhiculé par ses mêmes enfants avec en tête le garde du corps Badr, nonobstant sa coiffure de sioux, et son tatouage à la Scarface.
-La déperdition morale engendrée par un scénario où la traîtrise le dispute à l'infidélité, en passant par le parricide.
Et dire que l'audience d’après le prestidigitateur Zargounoff, était forte.
Selon un ami sociologue, une frange de la société tunisienne a besoin de s’identifier à ce genre de "héros", pour se faire une raison …d'exister !!!
Dire qu'avec ce "spectacle" nous avons bu le calice jusqu'à la lie, serait un doux euphémisme!
HAICA où es-tu?