Et là ça devient poisseux…

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J'ai un grand respect pour les journalistes, les reporters de guerre, les photographes, les chroniqueurs, je trouve qu'ils font un métier passionnant, une sorte de sacerdoce dans lequel ils s'engagent à leur corps défendant.

Mais tout comme la médecine, la justice, le professorat, il y a une Ethique à la fois stricte et majeure à laquelle il faut obéir scrupuleusement, car il y va de "l’hygiène " et de la bonne santé du corps de ces métiers.

Ce " quatuor " a dérogé à cette règle et déroge encore. Certains les encensent et voient en eux des esprits libres et critiques, allant jusqu'à s'identifier aux deux dames d'une manière aussi fanatique qu’adolescente, montant au créneau pour en faire des sortes de Marianne de la république. Ils sont libres.

Personnellement je trouve qu'ils sont d'une part, hâbleurs et bravaches frisant à maintes reprises la diffamation, le persiflage et le dénigrement pour certains de leurs invités. Ainsi, ceux qui sont dans leur ligne de tir et qui ne partagent pas leurs positions, sont systématiquement descendus à la mitraille sans aucun souci d'objectivité…

D'autre part, ils ont une capacité étonnante à devenir : mielleux, onctueux, douceâtres et affectés lorsqu'ils reçoivent ceux pour qui « ils militent ».

Et là ça devient tellement poisseux, qu'on a l'impression de se rouler par terre chez un poissonnier.

Non désolée, les gens ne sont plus dupes et ce rejet massif est parfaitement plausible pour ceux qui prennent le temps de réfléchir un tant soit peu à toute cette mise en scène appelée débats politiques.

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