De tous les spécialistes qui se sont succédé dans les médias pour atténuer le choc du maintien de la Tunisie sur la blacklist de l’Union européenne, c’est Samir Brahimi, actuel président du Centre d’études Hédi Nouira, qui a été le plus clair.
À l'évidence, ce qui nous manque le plus c'est la faculté de discernement et une analyse objective et dépassionnée de nos nombreuses défaillances....Le populisme qui sévit en Tunisie et ses pendants démagogiques ne font que jeter de l'huile sur le feu....
Le débat sur la fiscalité des professions libérales fait rage. Les avocats (ainsi que les médecins) se sentent persécutés. A les entendre, un vrai matraquage fiscal les attend. Or, ils ont tort de réagir par l’affect.