La République espagnole croyait à la démocratie parlementaire, et Franco a instauré sa dictature. Salvador Allende croyait à la démocratie parlementaire, et on a eu Pinochet. Evo Morales croyait à la démocratie parlementaire, et un coup d’Etat l’a chassé du pouvoir. Illustrations parmi tant d’autres
La reconnaissance rapide des États-Unis aux Forces Armées Boliviennes pour leur participation au coup d’État qui a expulsé le président Evo Morales du gouvernement n’est pas une surprise, elle ne fait que suivre une ligne cohérente de défense des intérêts économiques et géopolitiques.
Le fascisme, la haine raciale, ne sont pas seulement l’expression d’une révolution qui a échoué, mais, paradoxalement aussi, dans les sociétés postcoloniales, le succès d’une démocratisation matérielle obtenue.
Le Coup d’Etat contre Evo Morales s’inscrit dans un contexte international où différents facteurs montrent que les États-Unis sont en train de perdre leur différend hégémonique avec le bloc sino-russe et ceci sur les plans économique, géopolitique et technologique. ..
Et comme la victime était noire, on peut en conclure sans difficulté que pour le meurtrier la vie d'un noir ne compte guère.
Les leaders progressistes latinoaméricains de la dernière décennie subissent aujourd’hui les arguties d’une Justice corporative et au service des intérêts de la droite conservatrice.
Il nous semble que la conception kantienne de la pédagogie — qui, nous l’avons souligné précédemment, a fait l’objet chez lui d’un texte particulier — représente un des points de référence ou un des points d’inspiration de la psychologie moderne, dans la diversité en tout cas de ses tendances.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع