Le « printemps arabe», inauguré le 14 janvier 2011 par la déroute du président tunisien Zine El-Abidine Ben Ali, a fait inopinément entr’apercevoir dans la région la fin d’un long “hiver autoritariste”. Directement, en Tunisie, en Égypte, en Libye, au Yémen, en Syrie et au Bahreïn, mais également, p