Toute une hystérie collective via les réseaux sociaux sur le soi-disant retrait de la photo de Bourguiba du palais présidentiel et un concours d'hommages à sa mémoire, glorifiée et idéalisée ad nauseam.
Ils portent tous les stigmates de ce « novembrisme » voyou, mafieux, illettré et scélérat et s’accommodent de toutes les tricheries pourvu que leurs intérêts ne soient ni ébréchés ni remis en question.
Voilà un homme à qui on n’oserait pas confier sa belle-mère…Un homme volage, versatile, changeant, un vrai troubadour idéologique dont les multiples fugues et infidélités rappelleraient les turpitudes d’un arlequin déguisé en Casanova !
Certains progressistes, ayant obtenu un poste politique important dans l’actuel régime, ont choisi de renier leur passé de militants.
Construisez votre propre référentiel, et cessez de capitaliser sur les réalisations d’autrui datant souvent d’ères révolues. Vous savez, l’identité n’est jamais autre chose que propre, sinon ce serait de la schizophrénie.
A quoi bon s’encombrer de légalité ou de patriotisme abscons lorsqu’un petit pétard suffit à dénouer les situations les plus inextricables ? Tout compte fait, le feu a du bon. Il éclaire les recoins demeurés sombres pour certains.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع