En politique étrangère, l'ennemi est déshumanisé et diabolisé. On se réjouit de la mort des adversaires comme si le droit international incluait la loi du "dent pour dent, œil pour œil". Cela conduit à une barbarie qui oublie les principes fondamentaux de l'humanisme, ceux que nous a enseignés Dosto

Les attaques à la roquette de l’Iran contre des cibles militaires israéliennes sont le résultat d’une année de provocations. Des mois de retenue ont pris fin lorsque Israël a intensifié sa guerre contre le reste de la région, au Liban.

Un symbole a été brisé. Une légende est née. La Résistance, plus que jamais, ne reculera pas. Ce n'est pas un chiite, mais un dirigeant chrétien libanais

il est temps de retirer l’ONU du territoire israélo-américain et d’établir un quartier général dans une nation qui respecte vraiment le droit international humanitaire

Mon impression est qu’Israël gagnera toutes les batailles et perdra la guerre. Non pas telle ou telle guerre particulière, mais la guerre fondamentale, celle de la légitimation de sa propre existence.

Pardonnez-moi de revenir sur la déclaration de Netanyahou hier après l'attaque du Liban : "Nous ferons du mal à quiconque nous fera du mal". Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je la trouve choquante, effet d'une pulsion mortifère de barbarie.

Ce qui est plus extraordinaire que le prix de ces ventes d’armes, c’est que la Maison-Blanche les a rendues publiques. Avant les annonces de la semaine dernière, il n’avait divulgué que deux ventes d’armes à Israël. En mars, l’administration Biden avait déjà donné son feu vert à plus de 100 contrats