Elyes Fakhfakh demande à nos concitoyens de faire un geste au profit du 1818, un don pour pouvoir faire face à la tragédie qui nous frappe. Certes, c'est un devoir, cependant... !
1/ L'ALECA est son dada, sa raison d'être !
Monsieur le chef du Gouvernement, vous nous demandez de la solidarité et du sens de la citoyenneté, soit ! Mais pourriez-vous nous éclairer sur le rôle exact de votre amie, madame Lobna Jeribi, au sein de votre équipe ? Vous serait-il possible de nous citer des exemples concrets de ses récentes activités ?
En un peu plus clair, qu'a-t-elle produit lors de ces 3 mois d'exercice en tant que Ministre chargée des grandes réformes ? Quel(s) dossier(s) a-t-elle étudié à l'exception de l'ALECA, son dada ? Quelles suggestions a-t-elle formulé à part la libéralisation tous azimuts de nos secteurs d’activité ?
Monsieur Elyes Fakhfakh, madame ALECA, votre amie, non seulement est une charge pour la société tunisienne, mais encore pire : Madame Jeribi représente un danger certain pour notre pays et notre économie. Par ses liens controversés avec Patrice Bergamini et les responsables de l'UE sur notre territoire. Votre "favorite" des réformes est une menace pour notre souveraineté.
2/ Financements occultes de SOLIDAR
Vous ne pouvez ignorer les activités de son cercle de réflexion « Solidar » ; un club créé et financé par l'Union européenne pour mieux fléchir les plus réticents des Tunisiens, surtout les responsables politiques et les leaders d'opinion.
Sa nomination au sein de votre Gouvernement est une erreur. Un faux pas qu'il faut rattraper au plus vite. Il vous suffit de jeter un œil sur les sources de financement de son association, vous constaterez qu'il s'agit belle et bien de l'UE qui est derrière.
3/ Moralité… !
Dans ces conditions, vous ne pouvez, monsieur le chef du Gouvernement, demander aux Tunisiens un effort substantiel de financement de cette tragédie tout en ayant au sein de votre équipe une personne aussi controversée.