Il faut libérer le FLN. C’est à dire le dissoudre !

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Il n’y aura jamais de rupture, de changement, de bond vers l’avant, de renaissance si le FLN n’est pas dissous. C’est à dire rendu à l’histoire collective de ce pays, restitué à la mémoire équitable de tous, accepté comme patrimoine et pas comme caste, gang ou source de privilèges et d’apartheid envers les algériens.

Il faut libérer le FLN. C’est à dire le dissoudre pour qu’il soit le bien de tous et pas d’une caste. Si cela n’est pas réalisé avec ce soulèvement, on va encore perdre une décennie ou deux.

La seule dignité qui reste possible pour les Bouteflika, Gaid Salah, Ouyahia, Bedoui, Belaiz, Sidi Saïd, Amar Ghoul, Benyounes et autres larbins et clowns comme Ould Abbes ou Hamel et son fils, Anis Rahmani et ses milices, c’est de partir aujourd’hui.

Maintenant. Démissionner. Sortir par les trous. Dans l’heure. Pas demain, mais dans l’heure. Dissoudre le FLN et le RND et ce FCE de courtiers et ce gang de Malfaiteurs qui ont volé le drapeau et la terre. Prendre la valise. Aujourd’hui.

Ceux qui dans les administrations, le parlement, le sénat, les institutions et les syndicats, les corporations et les confréries, les médias et le patronat ne rejoignent pas le peuple aujourd’hui et demain, auront choisi leur camp.

Ils auront choisi un homme et un régime qui vont mourir contre un pays qui va enfin vivre. Il n’y a pas de troisième voie. Pas de choix autre que la dignité ou la servilité. Manifestez-vous. Dites-le. Libérez-vous de la peur et de la lâcheté.

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