De tous les spécialistes qui se sont succédé dans les médias pour atténuer le choc du maintien de la Tunisie sur la blacklist de l’Union européenne, c’est Samir Brahimi, actuel président du Centre d’études Hédi Nouira, qui a été le plus clair.
Le moins qu'on puisse dire est qu'Afek n'est pas un parti comme les autres. ...il est en réalité perclus de nostalgiques de l'ancien système, la plupart nourris au « legmi » du Rcédisme et tous plus réactionnaires les uns que les autres.
Sauvons le soldat Yassine Brahim, c’est un acte de salubrité publique !
Si l'on veut comprendre quelque chose à ce qui passe dans notre classe politique, ce n'est pas du côté d'Afek qu'il faut se pencher.
Il y a une semaine voilà que ses 8 députés votaient en ordre dispersé la loi de finances 2018. 4 pour et 4 abstentions. Une moitié favorable et l'autre moitié indifférente.
Des choses se trament en vue de contenir les ambitions soupçonnées de Youssef Chahed et ses acolytes de la Kasbah.
Qui va diriger ou présider ce front ? Est-ce des personnages comme Yassine Brahim ou Mohsen Marzouk (tous deux ne faisant pas partie de ce front) peuvent lâcher l’initiative à des entités qui peuvent leur échapper?
Les Semeurs.tn الزُّرّاع