Le moins qu'on puisse dire est qu'Afek n'est pas un parti comme les autres. Avançant derrière un masque social-libéral qui sert de pot-pourri Idéologique pour attirer le chaland, il est en réalité perclus de nostalgiques de l'ancien système, la plupart nourris au « legmi » du Rcédisme et tous plus réactionnaires les uns que les autres.
Il y a quelque temps, leur porte-parole se fendait d'un retentissant post sur Facebook, déclamant son penchant pour un régime politique s'identifiant au Césarisme et à la dictature Romaine.
Plus récemment, c'est un de ses députés-comédiens (ils sont légion dans le semblant de groupe parlementaire du même nom) qui proclame à la radio sa dévotion pour le bruit des bottes et sa ferveur pour les treillis militaires, rêvant à l'avènement d'un homme à poigne, fût-il un caporal.
Maintenant, on comprend mieux pourquoi les quelques ministres et sous-ministres Afek n'ont pas obéi en janvier, à l'aimable injonction de leur parti les conviant à quitter le gouvernement.
Eux aussi, sont des adeptes de la manière forte…