François Hollande élu mondialement « homme politique de l’année » à New York. Où, autrement que chez les amerloques, aurait-il pu prétendre à une telle distinction ? Qu’il était beau. Qu’il était fier, le Rondelé, dans son tout nouveau costume, exsudant avec aise la pestilence de tous les Kissinger de la planète !
Au pays de la « mémoire courte », il est encore des hommes verticaux qui s’en souviennent des territoires de la mort où ces Attila ont semé et sèment encore la terreur ! Si cela ne ressemble pas à un acte terroriste de grande envergure, au viol des consciences, je suis quitte pour qu’on m’enferme dans le premier asile venu !
Moralité : après s’être montré « sage », le chienchien a mérité son petit nonosse à ronger. Moment de franche rigolade qui ne fait pas rigoler tout le monde. A commencer par ces « sans dents » qui squattent le trottoir, une main tendue vers le passant qui vient de perdre la sienne ! L’administration française, du Pôle emploi à la CAF l’ayant amputé du minimum vital !
Vive le socialisme à la française ! Il se décline comment le socialisme à la Jaurès, monsieur l’homme politique mondial de l’année ?... Ce n’est pas le tout, p’tit camarade, mais il va falloir passer à la caisse et pas qu’avec des nougats dans les poches !
De ce côté-ci de l’océan, en petite Hexagonie, le jeu du pipeau est à son plus haut niveau et la guerre pré-électorale fait rage. L’esprit gaulois, que la France brade par ailleurs au premier venu sans se soucier de « l’identité nationale » revient au premier plan. Le gogo. Le pipeau. Le haineux. C’est porteur. Les sens à sens unique : on laboure les esprits comme on retourne un champ avant semence !
Quand on sait le poids qu’un porteur peut supporter, on imagine la portée !...
Prenons Nicolas le petiot. A peine élu en 2007, qu’il s’envolait pour les States baiser les pieds de Bush le petit, offrant ainsi aux amerloques cette « indépendance de la France » qu’il dit chérir de tout son petit cœur. Le voici clamant du haut de son petit tabouret : « dès que l’on devient français, nos ancêtres sont gaulois » !
Ainsi donc, sans rien remettre en question de notre allégeance à l’Amérique et à la haute finance, l’esprit chevillé à l’immondice, le regard rivé sur la courbe des sondages, les bateleurs de la manip ouvrent les vannes aux Superdupont de l’identitaire pour leur rappeler que sans eux la France de la haine et de la médiocrité est foutue !
Eh, oui, Sarko, je suis français. Eh, oui, j’aime la France, mais je ne suis ni ne serai jamais gaulois, question de lieu de naissance !
Mais vous, Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, le néo gaulois, vous venez d’où ?... « Demandez à Zemmour, pôv’con » !