Le cappuccino, les viennoiseries auront enfin de compte notre peau et la peau de nos arbres…
Le bien nommé « Le Mirador », a-t-on idée de faire voyager les sucreries au pays des miradors et des cellules d’isolement, a abattu un arbre centenaire pour « dégager » la vue et renflouer ses caisses…
Le tintement du tiroir-caisse a fini par lui boucher oreilles et narines, la brise de la mer et la fraîcheur de l'ombre n'ont pas résisté à la crétinerie des glucides et des billets…
Savez-vous au moins ce que c'est qu'un arbre, ce qu'est la merveilleuse symbolique d'un arbre qu'on plante ? Et surtout, avez-vous conscience du sacrilège que vous venez de commettre ?
Il est vrai que les crânes de plomb sont une steppe inculte et désolée…