Une nouvelle fois, la Palestine, pays hôte du jadis SDF Israël, se fait canarder par les invités et les civils tombent, tombent, tombent. Comme souvent, femmes, enfants et vieillards sont les principales victimes.
Assistons-nous à une nouvelle « solution finale » imaginée par des cerveaux criminels ? A force, même les esprits les plus modérés finissent par le penser. Y compris au sein de la propre communauté juive !
En 1947, les forces alliées, anglais en tête, trouvent une terre d’accueil à la diaspora juive, après la rouste nazie de la seconde guerre mondiale. La Palestine est choisie et sa terre arbitrairement « partagée ». Tel le coucou, les Israéliens pondent leurs œufs dans le nid des autres.
Israël est né et très vite les Palestiniens commencent à avoir la chtouille, non sans raison, puisqu’en une petite vingtaine d’années seulement le peuple invité a jeté ses tentacules sur 75 % du territoire palestinien. Colonisation express ! En avant, marche ! Le tout agrémenté d’exactions ad hoc avec la bénédiction d’un occident subjugué par une telle hardiesse !
Et si quelqu’un proteste, crie à l’expropriation, au vol et au crime, on l’écarte avec des arguments dignes de l’autofiction. Dieu en personne n’avait-il pas désigné Israël comme le « peuple élu », un soir où il avait visiblement abusé de la bouteille ? Si tant est que Dieu existe et qu’un quidam ait été témoin du propos ! Ne dit-on pas que l’abus d’absinthe rend fou ? Personne cependant pour authentifier la chose, puisqu’à l’époque Dieu, s’escrimant à rompre sa solitude, occupait son temps à créer tout et n’importe quoi !
Mais qui est le menteur dans cette histoire sans témoin ? Qui est le fou criminel ?...
L’agression systématique des Palestiniens n’est pas la conséquence d’une énième réponse à l'attaque d’un peuple moribond, mais un projet préexistant pour imposer une loi et un discours manipulateurs afin de finir le travail, La censure et la contre-information des médias dominants servant de relais pour faire passer un crime pour un geste défensif.
A Berlin, Londres, Madrid, en Irlande…, dans toutes les capitales du monde, la mobilisation pour condamner cet acte criminel a été exemplaire.
A Paris, les manifestations de soutien ont été interdites par le gouvernement sous prétexte – on ne rit pas – d’empêcher la propagation de la « haine et l’antisémitisme » !
Aujourd’hui en France, c’est très tendance, celui ou ceux qui trouvent à y redire sont de fait disqualifiés avec des accusations calomnieuses comme « antisémite », « facho », « identitaire », « brun », et j’en passe. Or quand des millions de personnes, toutes opinions confondues, assistent à un crime et se mobilisent sans violence pour le dénoncer doit-on en déduire que l’humanité a sombré dans l’horreur ?
Un crime reste un crime et les droits de l’homme ne sont pas faits uniquement, comme l’affirmait froidement Henry Kissinger, salaud parmi les salauds, pour « contrer les communistes ».