De la panique pandémique au délire électoral il n’y a qu’un pas. Nous y voilà. La campagne pour la prochaine présidentielle est lancée, avec les « gentils » – ceux qui bientôt seront sur le banc des accusés pour un Nuremberg 2 ? – et, bien entendu, tous les « vilains », islamophiles, islamophobes, antisémites et fachos, se livrant une guerre sans merci devant une opinion fracassée par le cruel dilemme : la peste ou le choléra ?
Le vote blanc n’étant toujours pas validé par la constitution on peut s’attendre à une abstention historique, si tant est… Quelle sera donc la légitimité « démocratique » de l’heureux gagnant ?
Banques, multinationales et Big Pharma, génératrices de pouvoir profond et vrais ordonnateurs du Nouvel Ordre Mondial, désignant celui que nous pensons être notre choix.
La multiplication de candidats mettant en relief que nous n’avons pas besoin d’appareils sophistiqués pour fausser une élection, comme cela a été le cas aux Etats-Unis, le trucage étant l’élection elle-même.
Des patrouilles de mercenaires écument l’espace médiatique avec frénésie afin de distraire un auditoire indifférent, à force de péroraisons pandémiques sur un virus sans presque pas de morts, hormis ceux que l’on vaccine de force.
Bientôt un an et demi que ça dure, cette tartuferie où le con devient son propre otage et le mort un patient qu’on fait patienter.
Et dans ce jeu de dupes qui de mieux pour fournir la batte en relançant la machine ? J’ai nommé Jean-Luc Mélenchon !
En déclarant qu’un « grave incident », semblable à celui de Mohammed Merah en 2012 pourrait faire basculer le scrutin présidentiel « lors de la dernière semaine de campagne de la présidentielle de 2022 », Méluche à mis le feu aux poudres !
Aussitôt dit, la cohorte de mercenaires est venue à la fenêtre médiatique cracher de l’injure, caillasser à tout va celui qui dit tout haut ce que n’importe quel homme normal pense tout va, y compris parmi ceux qui crachent et caillassent ! N’importe quel livre d’histoire peut nous éclairer au sujet des complots fomentés par le pouvoir pour retourner l’opinion.
Un de ces vitupérateurs, philosophe à la petite semaine, va jusqu’à dire que dans un tel contexte et à son corps défendant - il se murmure qu'il est de gauche - à « huit heures moins une il irait voter Le Pen plutôt que de laisser la porte ouverte à Hugo Chávez » ! Quel homme !
Hélas, en guise de « grave incident » le président a reçu une gifle de la part d’un quidam lors d’un « bain de foule » à l’occasion d’une visite officielle.
Maigre consolation pour un pays qu’on enfonce, mais suffisant pour faire grimper le baromètre des intentions de vote.
Ce n’est pas de candidats que la France a besoin, mais d’un homme d’Etat pour qu’elle retrouve enfin son honneur !