On voit bien le projet politique de la CGT : un seul journal, le retour à l’URSS. Laurent Joffrin
En effet, non seulement ces bolcheviks primaires et leurs piquets de grève archaïques sont en train de casser la belle dynamique du « çavamieux »
Mais encore nous imposent-ils une journée sans presse.
De cette presse diverse et pluraliste appartenant aux meilleurs d’entre nous, à savoir les toutes premières fortunes de France laborieuses.
C’est dire si la démocratie en prend un coup sévère derrière les oreilles.
De quoi, je n’aurai donc pas mon dessin Plantu de ce jour ?
Diantre la liberté d’expression du bourrage de crâne y survivra t’elle ?
Heureusement nous reste-t-il en plus de laP.Q.(R), radios et télévisions qui résistent encore et toujours à la censure cégétiste et du fin fond de leur clandestinité, font entendre leurs voix rebelles appelant au combat, au jerrican et au micro trottoir.
En ce jour de manifs de gueux et de perspectives effrayantes de goulag pour Pujadas et son orchestre héroïquement déviationniste, serrons les dents jusqu’à demain, pour retrouver enfin la liberté de ton, et l’antiformatage de l’éditocratie française dont on n’ aura pas, soyons en convaincu, la liberté de dépenser.
Soutien total à DASSAULT, Bolloré, Bouygues, Drahi, Lagardère, Arnault, Niel…et à leurs valets de pisse copie..
Une journée entière sans fabrication de consentement et de sondages téléphonés…
Plus jamais ça !