Après les quelques gesticulations vides et surfaites des régimes arabes face au génocide unique dans les annales modernes à Gaza, la série de crimes de guerre et de pilonnages meurtriers en masse à Beyrouth et au sud Liban sont accueillis par un silence assourdissant des régimes arabes.
Certains donnant des clins d'œil fourbes et approbateurs et d’autres contraints à contre cœur à recourir aux mêmes communiqués insipides et du bout des lèvres.
Chacun étant plus préoccupé de sa petite survie que de celle des peuples palestinien et libanais, apparemment selon le vieux dicton populaire qui dit mieux vaut que ce soit sa mère qui pleure que la mienne: تبكي امًه و ما تبكيش امًي
De plus en plus, les termes arabe et courage semblent antinomiques jusqu'à être mutuellement exclusifs.