Abir Moussi, un agent provocateur
Abir Moussi, la nostalgique de la dictature, de la torture ,de la corruption, est sans conteste une virtuose des provocations, Elle est soutenue par un puissant lobby de l’intérieur et par des puissances étrangères réactionnaires et féodales qui par peur de la contagion n'ont jamais admis l'instauration d'une démocratie arabe et en l’occurrence Tunisienne.
Abir la fasciste, l'hystérique, l’héritière de la dictature mafieuse, manie l'insulte, l'offense, multiplie les incidents et les provocations, elle cherche à perturber l'activité du parlement, elle cherche par son travail de sape le blocage et l’affaissement de nos institutions démocratiques, le désordre, le chaos, le pourrissement, le collapse du système démocratique et le retour de la dictature.
Abir, cette fasciste hystérique, a trouvé comme prétexte et comme cheval de bataille la prétendue lutte contre les « khwenjia » un attrape-nigaud. Par réflexe moutonnier, certains, des simples d’esprit, se mettent à la suivre dès qu’ils l'entendent bêler.
La majorité des Tunisiens ne suivent pas heureusement ces brebis égarées. Les Tunisiens ne sont pas dupes, ils défendront leur système politique, leur liberté leurs institutions chèrement acquises. La Tunisie ira de l’avant.
Ce ne sont ni les provocations, ni les injures, ni les invectives, ni les agressions, ni les bravades, ni les simagrées, ni les pitreries, ni les fourberies et encore moins les incantations de l'apprenti sorcière Abir Moussi qui pourront changer quelque chose.
Mohamed Abdennebi
Plutôt Pâture qu'héroïne
Avons-nous atteint le fond des abysses de l'indécence et de l'irresponsabilité au sein de l'ARP ou la descente aux enfers nous réserve elle encore des vertiges d’indignité ?
Cette notion obsolète du Takfir est aussi inadmissible que l'anarchie érigée en comportement systémique d'opposition infantile sur tous les fronts de la députée vedette des amateurs de sensationnel est insupportable.
Plutôt Pâture qu'héroïne guerroyant dans une arène de petits cannibales "politiques". Une représentation permanente exaspérante en deçà du rôle représentatif responsable d'élus de la nation.
Zohra Ladgham
Le silence des pantouflards…
Quand émerge une tendance fasciste au sein d'une démocratie et que celle-ci, de la manière la plus éhontée et la plus indécente qui soit, profite du climat démocratique pour répandre son venin, l'urgence consiste à circonscrire ce phénomène malsain et à le combattre par tous les instruments démocratiques que la Constitution et les lois autorisent.
Ce qui est regrettable et répréhensible, c'est qu'une certaine bien-pensance faussement démocratique, dissimule son hypocrisie en feignant d'ignorer l'existence de ce fascisme hérité de la dictature mafieuse et qui prolonge tout simplement l'opportunisme scélérat qui caractérisait ce système.
Le fascisme qu'incarne Abir Moussi n'a rien d'idéologique, il n'évolue pas dans le cadre d'un système de pensée ou d'une vision quelconque de la chose publique et de l'Etat, son fascisme est l'expression même de cette voyoucratie dont elle est l'émanation, il véhicule toutes les valeurs du banditisme politique, c'est "l'esprit barbouze" qui prévaut chez cette dégénérée dont le seul et unique objectif est de paralyser l'Etat et ses institutions en vue de créer un climat de gabegie dont les populistes savent tirer profit.
Il n'est pas question de stigmatiser le comportement d'une personne dont les mœurs politiques sont aux antipodes de la démocratie, il s'agit de prendre les mesures nécessaires pour empêcher que l'Etat et ses institutions ne soient pris en otage par l'oligarchie mafieuse que représente Abir Moussi.
Chiheb Boughedir