Ce qui coupe le souffle dans l'affaire de la Commission de Venise, c'est que celle-ci a argué que le décret-loi 2022-30, par lequel, le président de la République a dézingué l'Isie, est en flagrante violation du décret-loi 2021-117.
A se demander ce que fument et/ou boivent les membres de cette vénérable institution. Parce que ce dernier décret (véritable texte scélérat en la matière), est celui par lequel le président a finalisé en septembre dernier son holdup Constitutionnel à la suite du coup du 25 juillet. L'invoquer paraît ainsi saugrenu…
Détail croustillant entourant ce même décret 2021-117, selon les propres dires d’Amine Mahfoudh (avant la publication de l'expertise de ladite commission) ce texte a été conçu et élaboré à hauteur de 25% par le président himself et le reste, à parts égales, entre 3 des sommités du droit constitutionnel Tunisien, à savoir : Sadok Belaïd, Mohamed Salah Ben Aïssa et... Amine Mahfoudh. Excusez du peu…
Cette Commission de Venise aux relents néo-colonialistes (selon les propos présidentiels), non seulement, a l'outrecuidance de se mêler de ce qui ne la regarde pas, et par-dessus le marché, elle n'a pas le bon goût, de reconnaître à leur juste valeur, nos talents locaux…