Dans la sordide affaire "Korbi" on ne sait toujours pas qui a nommé ce monsieur "grand commis de l'état" alors que tout le monde se dispute l'honneur de l'avoir "radié".
Aucun des deux protagonistes de l'affaire n'assume l'indignité de sa nomination. Le premier ministre fait dire à l'envie qu'il n'a pas entériné sa nomination...c’est-à-dire : c'est pas lui.
Le ministre de la santé a publié un communiqué rageur où il nous fait prendre acte que premièrement il nomme un titulaire nouveau et que deuxièmement il annule la précédente nomination ce que subsidiairement et logiquement veut dire qu'il a acté et entériné sa nomination ce qui implique sa responsabilité.
Dans le cas d'espèce, nous sommes réduits à supputations et déductions.
Dans cette sordide affaire, l'état ne sort pas grandi, bien au contraire éclaboussé par le scandale de cette nomination et par la petitesse des faits du "ce n’est pas moi, c'est lui".
C'est comme dans l'affaire de l'avionneur Émirati, où toute honte bue on a passé l'éponge estimant qu'il ne s'est rien passé.
Ici aussi il ne s'est rien passé, sauf que l'état à été bafoué.