Du haut de son siècle, Edgard Morin nous a appris l'humilité, la modestie, le défi toujours renouvelé d'interroger, de questionner, d'interpeller l'inconnu et d'explorer ses mystères...Cela force le respect…alors que de petits canards boiteux, dont la pensée elle-même est boiteuse, exposent et étalent avec l'indécence coutumière aux parvenus...leur vanité....
Toujours disponible, toujours prêt à recevoir le macaron de récompense, toujours prêt à recevoir un os à ronger, mais il n'a ni la fidélité des chiens ni leur loyauté, il change son fusil d'épaule dès que l'horizon s'assombrit et que l'orage éclate, c'est l'universitaire-girouette, dévoué au pouvoir et qui s'arrange pour être toujours du bon côté du podium.
Il sait suivre le courant et n'a aucune difficulté à suivre la direction du vent, tel un caméléon, il s'adapte à son environnement, fût-il hostile, et règle sa montre sur celle du pouvoir...Il se drape de son opportunisme comme la catin se drape de sa petite vertu, et cela ne le gêne pas de se désavouer et de quitter le navire quand celui-ci prend l'eau.
Prétendre que votre galimatias populiste est du «savoir » Monsieur Amine Mahfoudh et que vous êtes autorisé à nous surplomber tous alors que votre vulgate est celle d'un vulgaire cireur de pompes …est pathétiquement mesquin.
L'ignorance puise sa force de nos connaissances lorsque celles-ci sont érigées au rang de vérités intangibles et absolues. Savourez votre ignorance, Monsieur Amine Mahfoudh….