Un fanfaron sorti d’une boite de pandore, au physique de clown tueur ou de figurine d’Halloween est en train de prétendre au poste de président de la première puissance au monde.
A ce demeuré on va confier le droit de déclencher une guerre nucléaire, d’attaquer un pays paisible pour punir son président ou d’occuper un autre au motif que son sous-sol recèle un quelconque matériau rare.
Ce bœuf musqué aura droit de vie et de mort sur des milliers d’êtres humains en lâchant ses GI ou en décrétant un embargo, même sur les médicaments.
Ses décisions ou même ses commentaires suffisent pour perturber le CAC 40 ou faire baisser le simple prix du sel. Un lapsus ou une contrepèterie peut mener des banques ou des secteurs entiers vers la faillite.
Sa manière de recevoir un président ou un roi venu offrir sa soumission et prendre des photos devant sa cheminée, peuvent causer un coup d’Etat ou faire réélire haut la main cet esclave.
Champion incontesté du populisme, il a qualifié le réchauffement climatique de « canular inventé par les Chinois», recommandé la fermeture de toutes les mosquées et a dit qu’il forcerait l’armée à commettre des crimes de guerre…
Et dire que pour recruter ne serait-ce qu’un facteur on fait passer un test psychotechnique au candidat et… on calcule son QI.