Lors d’une interview accordée à une radio privée, le porte-parole du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSP) a laissé comprendre que l’avis de cette instance, relatif à la loi de réconciliation, était prêt avant la réunion plénière de l’ARP et le vote de ladite loi.
Mais plusieurs parties ont tout fait pour retarder la communication de cet avis à l’ARP, puisqu’apparemment il ne verse pas dans leurs intérêts. Ils ont « encouragé » des membres à s’absenter de la réunion du CSP pour qu’il n’y ait pas le quorum requis.
Maintenant, ils interdisent à cette instance de rendre public ou communiquer cet avis pour ne pas« influencer » l’instance d’examen de la constitutionnalité de cette loi.
C’est grave…gravissime…ce n’est pas un passage en force. C’est une agression caractérisée de la constitution et de la démocratie.
La mafia détient toutes les ficelles du pouvoir.