Encore une fois un journaliste est pris en flagrant délit d’usage de faux. Ce genre d’incidents se répète …toujours sur les mêmes chaines. La journaliste s’excuse et … « bouss khouk ».
Mais pour un aveu, combien y’a-t-il de mensonges, d’intox et de manipulations passées par ces journaleux ?
Pourquoi l’information est prise en otage par des intérêts financiers et des lobbys qui font avaler des couleuvres à des « consommateurs » à qui on ne cesse, d’abord, d’inoculer le virus de la peur, de l’angoisse et du désespoir pour lui imposer ensuite ses options politiques.
A bien regarder notre paysage médiatique, nous constatons une mainmise dangereuse sur l’information : deux ou trois chaines télé, deux radios privées et deux ou trois journaux concentrent la quasi-totalité du système médiatique et d’information. Les journalistes « vedettes » travaillent généralement dans deux supports ou plus.
Nous nous trouvons dans une situation où un groupe d’une dizaine de journalistes mercenaires, manipule l’opinion de ce pays beaucoup plus que les politiques, intellectuels ou supposés élites. Nous les connaissons tous et chaque soir ils professent sur nos chaines, entourés des mêmes experts, chroniqueurs, spécialistes…qui souvent n’ont aucune érudition, ou si peu.
Ils nous prennent en charge dès le matin où dans nos autos, ils nous donnent le la pour la journée. Nous les retrouvons à midi sur une radio privée en rentrant déjeuner pour nous annoncer le programme de la soirée. Le soir, et en deux temps, ils vont finir par modeler une pensée unique à ce bon peuple.
La liberté d’expression et la diversité d’opinion n’est qu’une chimère, la quête de la vérité et la séparation de l’info de la propagande n’est pas accessible à tous.
Facebook n’est pas pour améliorer cette situation…Sigma conseil et l’INS non plus.