C'est la première fois que la BCT estime officiellement la profondeur de l'économie informelle, en la dimensionnant provisoirement à 4,3 milliards de dinars, tout en évaluant l'effectif humain à près de deux millions de personnes.
Dans quelques mois, le chiffre sera révisé à la hausse pour dépasser 6. En outre, elle reconnait que 85% des PMI en souffrent, et sont menacées de fermer boutiques si rien n'est engagé.
Enfin, elle confirme que le déficit courant est de 20 milliards (et non de 10 Milliards), admettant implicitement que le réel déficit commercial est de 29 et non de 19 (dopé par les activités offshore).
Il y a au moins deux mesures efficaces exécutables à très court terme:
1) Plafonnement des transactions en cash à 1000 dinars (en Europe à 1000€).
2) Changement des billets de banque (au lieu de renouveler les pièces de 100 Millimes).
Si ces mesures et bien d'autres sont écartées par le «combattant de la corruption», c'est parce qu'il entend se servir des réseaux de l'économie souterraine pour financer sa campagne et surtout pour acheter des électeurs potentiels).
Encore un Marwen !!
Le boss de l'Institut d'Emission nous parle d'indépendance de la BCT vis à vis de l'exécutif, mais il ne nous parle pas de sa dépendance extérieure.
La Tunisie aurait succombé à la pression des finances sionistes, sous le numéro 149, en cédant des parts de la BCT à la famille Rothschild, proprio du FMI et de la BM.
Il semblerait que Rothschild fait partie du Conseil d'Administration de la Banque Centrale tunisienne à travers Ahmed Ben Ghazi membre du CA, Directeur Général d' "Axis" qui appartient à Rothschild.